Policy

Dossiers de l’UNF 2007

  • Le 21 novembre 2007 :

    Mémoire adressé au médiateur de l’Ontario par le site concernant le ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario et sa violation de la confiance du public.

    The () demande officiellement au médiateur de l’Ontario d’enquêter sur le ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario (MAAARO).

    Le MAAARO manque à son devoir de diriger et de façonner correctement les systèmes agricoles et alimentaires de l’Ontario. En ne poursuivant pas des politiques qui préservent et renforcent (1) les communautés et les économies rurales, (2) la salubrité et la sécurité de nos aliments, (3) la durabilité de nos systèmes de production et (4) la capacité de nos producteurs agricoles familiaux à prospérer aujourd’hui et dans les générations à venir, le MAAARO manque à son devoir d’agir en accord avec les souhaits des citoyens et de sauvegarder les intérêts de ces derniers. En d’autres termes, le MAAARO manque à sa responsabilité de protéger et de faire progresser la confiance du public.

  • Le 19 octobre 2007 :

    Le « libre-échange » : Le libre-échange est-il bénéfique pour les fermières ?

    Comparaison entre 2007 et 1988 – Il s’agit d’une version élargie et mise à jour d’un rapport publié initialement en 2002.

    Nous avons eu 19 ans de « libre-échange ». Comment cela fonctionne-t-il pour les familles d’agriculteurs et les communautés rurales ? Pour nous aider à le savoir, nous comparons les indicateurs économiques de 1988 (l’année précédant celle où nous nous sommes engagés sur la voie du libre-échange) à ceux de 2007. Les chiffres ne sont pas ajustés en fonction de l’inflation.

  • octobre 2007 :

    Mémoire du sur l’examen du secteur commercial des céréales et des grandes cultures présenté à Mesures Canada, une agence d’Industrie Canada

    La réduction des ressources internes de Mesures Canada au cours des deux dernières décennies a servi de justification à la privatisation des fonctions de l’organisme, conformément à l’idéologie dominante de réduction du rôle du secteur public dans l’économie.

    Les faits prouvent que la déréglementation du secteur céréalier n’a pas permis aux fermières de réaliser des économies et qu’elle n’a pas non plus assuré une protection adéquate de l’intérêt public.

  • Juin 2007 :

    Soumission au Comité permanent de l’économie Assemblée législative de la Saskatchewan sur l’impact de l’accord sur le commerce, l’investissement et la mobilité de la main-d’œuvre (TILMA)

    The s’oppose fermement à la mise en œuvre de l’accord sur le commerce, l’investissement et la mobilité de la main-d’œuvre. Cet accord a été qualifié à juste titre de « déclaration des droits des entreprises » qui confère aux entreprises privées des pouvoirs étendus pour réécrire et appliquer les réglementations qui sont dans leur intérêt.

  • Le 26 avril 2007 :

    Soumission en réponse aux règlements visant à modifier les règlements de la Commission canadienne du blé

    The () se réjouit de pouvoir répondre à la proposition publiée dans l’édition du 21 avril de la Gazette du Canada. Cette proposition de modification réglementaire permettrait de soustraire l’orge à la compétence du guichet unique de la Commission canadienne du blé en modifiant les règlements de la Commission canadienne du blé.

    La justification du gouvernement fédéral pour l’introduction de cette modification réglementaire repose sur un certain nombre de prémisses inexactes et trompeuses. En outre, le « processus » décrit dans le Résumé de l’étude d’impact de la réglementation (REIR) a été dépeint de manière inexacte. Le « processus » mené par le ministre de l’agriculture n’était pas destiné à fournir au gouvernement ou aux fermiers des options ou un forum pour une discussion légitime sur la commercialisation de la Commission canadienne du blé. Essayer maintenant de présenter le processus du ministre comme une consultation légitime des parties concernées est une déformation grossière des faits.

  • Le 26 avril 2007 :

    Proposition de sur la crise des revenus agricoles, la gestion des risques d’entreprise et le cadre stratégique pour l’agriculture de la « prochaine génération » – Résumé

    Le revenu agricole net réalisé, ou son absence, est au cœur du débat sur le Cadre stratégique pour l’agriculture (CSA) du Canada et les programmes de gestion des risques de l’entreprise (GRE) qui y sont associés.

  • Le 26 avril 2007 :

    Proposition de sur la crise des revenus agricoles, la gestion des risques d’entreprise et le cadre stratégique pour l’agriculture de la « prochaine génération » (CSA II)

    L’actuel cadre de politique agricole (CSA), en particulier, représente une préoccupation majeure pour nos membres. Au cours des cinq dernières années, depuis la mise en œuvre du CSA, la viabilité des exploitations agricoles familiales a connu un déclin spectaculaire dans tout le pays. Non seulement les prix à la production ont baissé pour la plupart des produits de base, mais les prix des intrants (machines, semences, engrais et crédit) ont augmenté, tandis que les coûts d’infrastructure et de réglementation ont été directement répercutés sur les fermières. Toute discussion sur une stratégie de gestion des risques de l’entreprise (GRE) dans le cadre du CSA doit donc tenir compte de l’ampleur de la crise des revenus agricoles.

  • Le 23 avril 2007 :

    La crise du revenu agricole au Nouveau-Brunswick et la nécessité d’une action immédiate

    Au Nouveau-Brunswick, les cinq dernières années ont été les pires de l’histoire pour les fermières. Mais cette province n’est pas la seule à connaître une baisse record des revenus agricoles. Le graphique suivant est basé sur les données de Statistique Canada. Il montre la chute des revenus agricoles nets au Canada, depuis les niveaux déjà bas des années 1990 jusqu’aux niveaux records des cinq dernières années. Notez qu’alors que les revenus nets ont atteint des niveaux record, les revenus bruts ont atteint des niveaux record. Les fermières créent plus de richesses et manipulent plus d’argent, mais celui-ci passe simplement de leurs mains aux poches du secteur des entreprises.

  • Le 29 mars 2007 :

    Gestion des risques de l’entreprise : Examen des fondements de la crise des revenus agricoles et de ses implications pour la conception de la gestion des risques de l’entreprise.

    Les nouveaux programmes de GRE doivent permettre aux fermières d’acheter et de vendre collectivement, de retenir des produits si les marchés n’offrent pas des prix équitables, de laisser des terres en friche si les marchés semblent signaler des excédents et de gérer les approvisionnements (comme le font GM, Nike, Sony et tous les autres secteurs en dehors de l’agriculture).

    Si les fermières sont plus puissantes, elles seront plus rentables. C’est sur cette base que nous devons construire une nouvelle génération de programmes de GRP.

  • Le 22 février 2007 :

    Soumission par le sur la crise des revenus agricoles et le cadre de politique agricole de la « prochaine génération » (CSA II)

    La question du revenu agricole net réalisé est au cœur du débat sur la politique agricole. Les fermières sont à la base du système alimentaire. Nous sommes les producteurs de richesses, et le fait est que nous devons obtenir un juste retour sur notre travail et nos investissements. Toute politique agricole qui minimise ou ignore les besoins légitimes des fermières familiales afin d’accroître la rentabilité des transformateurs, des exportateurs et d’autres composantes du système alimentaire est intrinsèquement inéquitable et non durable.