Policy

Dossiers de l’UNF 2008

  • 19 novembre 2008

    La crise agricole et le secteur bovin : Vers une nouvelle analyse et de nouvelles solutions

    Nous traversons une crise. Nous avons besoin d’une nouvelle réflexion. Nous avons besoin de solutions audacieuses. Il y aura de la résistance. Des attaques quasi hystériques seront lancées contre ceux qui menacent le statu quo. Mais nous devons l’emporter. Nous devons faire marche arrière. Nous devons parler du pouvoir des entreprises, de l’offre captive et des profits des acteurs dominants. Nous devons rétablir l’équilibre et l’équité. Nous devons faire en sorte que nos éleveurs familiaux retrouvent la stabilité et la rentabilité. Nous devons agir maintenant. Nous devons réussir. Résumé. Rapport complet.

    • Où est le plan… de boeuf ?
      La Canadian Cattlemen’s Association a publié une réponse au rapport sur le bétail . Nous vous invitons à lire à la fois le rapport et la réponse de l’ACC, et à décider par vous-même laquelle offre l’analyse la plus pénétrante et la plus fiable. Afin d’aider les fermiers/éleveurs à prendre des décisions en connaissance de cause, le site demande également à la Canadian Cattlemen’s Association de fournir un lien sur son site web vers le rapport sur les bovins.Réponse de la Canadian Cattlemen’s au rapport
      Cliquez ici pour accéder au site web de la CCA et à son document de réponse.
  • 10 novembre 2008

    Recommandations du site aux élus du Nouveau-Brunswick

    Les fermières de notre province et de tout le pays traversent une période difficile. Les fermières et fermiers du Nouveau-Brunswick sont des professionnels qui travaillent dur, dont beaucoup sont titulaires d’un diplôme universitaire et ont géré avec succès des exploitations familiales pendant des générations. Pourtant, en 2007, le revenu net total des exploitations agricoles du Nouveau-Brunswick s’élevait en moyenne à -24 746 $ (Statistiques financières agricoles de Statistique Canada). Dans la plupart des fermes du NB, ce revenu négatif signifie qu’au moins un membre de la famille doit occuper un autre emploi à l’extérieur de la ferme pour la maintenir en vie. Comment le NB peut-il prospérer et être durable si les fermiers n’ont pas les moyens de cultiver des aliments ?

  • Le 3 octobre 2008 :

    Consultations sur la politique relative aux petits troupeaux de l’Ontario

    The () se réjouit de l’occasion qui lui est donnée de participer à la « Consultation sur la politique relative aux petits troupeaux » entreprise par les Producteurs de poulet de l’Ontario.

    Nous saluons les efforts déployés par le directeur financier au cours de l’année écoulée pour mener à bien ce projet pilote. La CFO a répondu aux demandes légitimes des fermiers et des organisations agricoles de répondre à la nécessité d’une réglementation régissant les exemptions pour les petits troupeaux.

    Le site a présenté une proposition d’exemptions pour les petits troupeaux en 2006. Dans cette proposition, le site a exprimé son soutien résolu aux produits de base soumis à la gestion de l’offre et aux principes initiaux de la gestion de l’offre. Le système de gestion de l’offre estime la demande, coordonne l’offre et restitue les coûts de production aux exploitations familiales. Le site soutient pleinement la commercialisation collective des produits agricoles afin que les exploitations familiales reçoivent un prix équitable pour leur travail et leurs investissements.

  • Août 2008 :

    Soumission à l’examen stratégique de Postes Canada

    Le site plaide en faveur de services postaux universellement accessibles et abordables pour les communautés rurales. L’éventualité d’une déréglementation des services de Postes Canada a de sérieuses répercussions sur la viabilité future des services postaux ruraux et des communautés qui en dépendent.

  • Du 22 au 25 juillet 2008 :

    Soumission à la Commission de commercialisation des produits agricoles de l’Ontario pour l’examen de l’Office du porc de l’Ontario

    Pour pouvoir agir au nom des exploitations familiales de l’Ontario en tant que vendeur efficace à guichet unique, l’Office de commercialisation des producteurs de porcs de l’Ontario doit avoir le pouvoir de commercialiser les porcs d’une manière qui empêche les conditionneurs d’exploiter leurs stocks captifs.

  • 12 juin 2008 :

    Lettre au premier ministre de l’Île-du-Prince-Édouard sur la crise agricole

    Dans les rubriques suivantes, nous identifierons certaines des causes les plus évidentes (les problèmes) de ce que nous considérons comme la mort de l’agriculture à l’Île-du-Prince-Édouard, ainsi que les solutions possibles :

    • Le libre-échange alimentaire doit disparaître
    • Le marché est dysfonctionnel pour les fermières : un résultat délibéré de la politique publique
    • Il est essentiel que le gouvernement prenne des mesures immédiates et apporte sa contribution
    • Les conséquences de la crise agricole actuelle sont irréversibles
  • 10 juin 2008 :

    Soumission à la commission de l’agriculture de la Chambre des communes sur la nécessité de soutenir les fermiers du tabac de l’Ontario

    The recommande au gouvernement fédéral de mettre en œuvre un plan immédiat qui traite les fermières avec dignité et respect et qui prévoit une élimination progressive et ordonnée de la production de tabac, sans qu’elles aient à subir la perte du capital de leur vie.

  • Juin 2008 :

    Soumission à l’examen de l’assurance-récolte de la Saskatchewan

    The a adopté des positions politiques dans de nombreux domaines qui concernent directement les fermières familiales de la Saskatchewan et de tout le Canada. Notre politique est le résultat d’un débat démocratique lors des conventions nationales annuelles sur les résolutions proposées par les délégués de base. Par conséquent, la politique de en matière d’assurance-récolte reflète les souhaits d’une majorité de fermiers familiaux dans cette province et au niveau national.

  • Le 16 avril 2008 :

    Soumission par le sur l’alimentation locale

    L’alimentation locale est une tendance mondiale. Le mouvement en faveur de systèmes alimentaires locaux équitables et durables n’est pas nouveau, il ne s’agit pas non plus d’une mode, mais il est en train d’arriver à maturité dans le monde entier. Les raisons de cette tendance sont très simples. Une combinaison de facteurs a créé une situation où la durabilité de notre production alimentaire et de notre système commercial est fortement remise en question. Ces facteurs comprennent : le changement climatique et le pic pétrolier, la crise des revenus agricoles, les règles déloyales du commerce international, la croissance de la population mondiale, les épidémies parallèles de faim et d’obésité, la perte de biodiversité, la pénurie d’eau, la salinité et l’érosion des sols, la pollution par les pesticides et les engrais, et le déclin des communautés rurales dans le monde entier. Au Canada et dans d’autres pays, les gens sont légitimement préoccupés par l’avenir du système alimentaire et se penchent longuement sur les mesures à mettre en œuvre pour garantir la durabilité pour les générations actuelles et futures.

  • 8 avril 2008 :

    Mémoire présenté au Comité permanent de l’agriculture et de l’agroalimentaire de la Chambre des communes sur l’étiquetage des aliments « Produit du Canada » Ottawa, Ontario

    Bien que les critères requis pour l’étiquetage des denrées alimentaires au Canada soient étendus et détaillés par rapport à de nombreux autres pays, la réalité est que les consommateurs canadiens ne disposent pas toujours des informations dont ils ont besoin pour faire des choix éclairés sur les aliments qu’ils achètent.

  • Le 14 mars 2008 :

    Communication de à la Corporation des services agricoles du Manitoba sur la Commission canadienne des grains et la question de la responsabilité potentielle des fermiers

    En décembre 2007, une loi a été introduite à la Chambre des communes qui, si elle est adoptée, aura de graves conséquences pour les fermières du Manitoba et l’économie de la province. Le projet de loi C-39, Loi modifiant la Loi sur les grains du Canada, restructurera effectivement la Commission canadienne des grains de manière à ce que son mandat principal ne soit plus d’agir dans l’intérêt des fermières, mais plutôt de servir de facilitateur pour les grandes sociétés céréalières.

  • 6 mars 2008 :

    Rapport sur les coûts des intrants agricoles

    Jusqu’à récemment, une brève description de la crise des revenus agricoles était la suivante : une mère se rend au supermarché pour acheter une miche de pain : Une mère de famille se rend au supermarché pour acheter une miche de pain. Elle dépose 1,35 $ sur le comptoir. La chaîne d’épicerie, la boulangerie, la minoterie et la société céréalière prennent ensemble 1,30 $. Le fermiere reçoit les 5 centimes restants. Ensuite, les fabricants d’engrais, de semences, de produits chimiques, de carburants et de machines prélèvent 6 cents dans la poche du fermier. Les contribuables compensent le centime manquant, sous forme de subventions. Le conjoint de la fermiere trouve un emploi en ville, pour payer les courses.

    La hausse des prix des céréales a légèrement changé la donne. Aujourd’hui, la mère devra payer 1,60 dollar pour le pain et la fermiere ne recevra que 10 cents. Il sera toutefois instructif d’observer comment ces entreprises d’engrais, de semences, de produits chimiques, de carburants et de machines se positionnent pour prendre 11 cents dans la poche des fermiers, poursuivant ainsi, sans interruption, la crise des revenus agricoles, malgré la hausse des prix des céréales.

  • Le 5 février 2008 :

    Soumission par le sur la crise du revenu agricole et les solutions à la Task Force « Opportunités dans l’agriculture ».

    L’actuel cadre de politique agricole (CSA), en particulier, représente une préoccupation majeure pour nos membres. Au cours des cinq dernières années, depuis la mise en œuvre du CSA, la viabilité des exploitations agricoles familiales a connu un déclin spectaculaire dans tout le pays. Non seulement les prix à la production ont baissé pour la plupart des produits de base, mais les prix des intrants (machines, semences, engrais et crédit) ont augmenté, tandis que les coûts d’infrastructure et de réglementation ont été directement répercutés sur les fermières.

  • Janvier 2008 :

    Présentation au Groupe d’étude sur les politiques de concurrence

    Si l’on veut atteindre la prospérité nationale et un niveau de vie plus élevé pour la majorité des Canadiens, le Groupe d’étude sur les politiques de concurrence doit aller au-delà des hypothèses erronées inhérentes à son document de consultation. L’expérience des fermières et les données de Statistique Canada montrent clairement que les politiques de libre-échange des deux dernières décennies n’ont pas réussi à améliorer le niveau de vie des agriculteurs, malgré l’augmentation des exportations de produits agricoles et la hausse des revenus bruts. Non seulement les revenus nets réalisés par les fermiers n’ont pas suivi l’augmentation de la productivité de leurs exploitations, mais ils ont même pris de plus en plus de retard. L’endettement agricole a plus que doublé depuis les années 1980, et la majorité des fermières et fermiers du Canada dépendent de revenus non agricoles pour rester à flot financièrement.